Parc du Château de Pszczyna

Cette ville silésienne hors du commun, attire depuis des années les touristes du pays et ceux de l’étranger par ses environs pittoresques, son ambiance et sa riche histoire qui remonte aux temps de la dynastie des Piastes. Située sur la route nationale N°1, à proximité des aéroports de Katowice et Krakow (Cracovie), la ville blottie dans la vallée de la Vistule et de son bras Pszczynka, cottoie au sud le lac Goczalkowickie et au nord un énorme aréal forestier qui formait autrefois la Forêt Vierge de Pszczyna. Le château ducal de Pszczyna (Fürsten von Pless) qui attire beaucoup de touristes, est aujourd’hui un des rares châteaux-musées qui ait gardé son entier intérieur authentique à travers la période communiste (entre-autres des magnifiques meubles en bois de rose marquetées ou aus incrustations de Limoges, de style Napoléon III, fabriqués en France.
Le château se situe sur un terrain de 156 ha, comprenant le Parc du château, le Parc de la Gare, le pavillon de thé sur un ilôt au milieu d’un lac, l’impressionnante cave à glace, la porte chinoise plusieurs chapelles, des ponts en arche et la “Promenade Sauvage” qui mène vers le Manoir “Ludwikowka”. Dans le parc de la Gare on peut visiter le musée éthnographique-ferme (Skansen), un ensemble d’anciens blockhouses reconstruits ici.
L’aspect du Rynek (Place du Marché) a gardé son aspect depuis le Moyen-Age. De là partent des ruelles étroites, bordés de belles maisons anciennes. La plus importante des ruelles, la “Ulica Piastowska” débouche sur le Musée de la Presse de Silésie.
En hiver, cette belle ville attire les amateurs avec son historique marché de Noël et pour se défouler sur la patinoire ouverte jusqu’à mi-mars.
Pszczyna est aussi connu pour l’élevage de bisons dans une réserve naturelle, “Zubrowisko”, au lieu Jankowice, un enclos de 10 ha. En 2002 on y a ouvert le Centre d’éducation écologique “Bisons de Pszczyna”
la Cité du Maroc à MERICOURT
Ch’est l’patelin de m’babcia, ben ouais, elle vit ‘core à l’rue d’Vimy.
Je m’souviens du chevalet qui trônait et m’impressionnait quand on virait à gauche pour aller chez elle. Je me souviens, quand plus tard, de cet énorme vide quand il a été détruit. je me souviens quand bien plus tard encore, j’ai regretté ne pas pouvoir le montrer à mes enfants pour leur expliquer notre histoire, notre patrimoine, nos origines….
Un très beau site où vous retrouverez Méricourt sous Lens , cliquez sur la photo !

VOIX DU NORD J’tin r’merci !
Ha ben cha alors ! Que surprise aujourd’hui ! V’la pas qu’min blog y est cité din l’vo’ du Nord !
J’vous laisse lire ch’l'artic’ !


Terril Ste Henriette
8 septembre, 2008, 14:53
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C’est mon terril ch’ti lal !!!
« Impossible de le manquer. Dans le secteur d’Hénin-Carvin, le cône du terril de la fosse Sainte-Henriette domine tout le territoire et étonne toujours le visiteur qui découvre cette “montagne” pelée, située à la croisée des autoroutes A 21 et A1, et au pied de laquelle passent les trains à grande vitesse.
Certains voient en elle, la porte d’entrée du Nord – Pas-de-Calais… Elle fait au moins figure de monument.
Même s’il verdit, ce terril extrêmement pentu n’est pas encore colonisé par les arbres, et ses terres schisteuses et meubles sont propices aux glissements et aux éboulements. Le sommet paraît inaccessible… L’ascension est dangereuse. Pas étonnant donc que le site qui ne bénéficie d’aucun aménagement, ne soit pas ouvert au public.
Impossible pourtant de l’ignorer, lui, avec ses 136 mètres, au-dessus du sol naturel, soit 166 m au-dessus du niveau de la mer : le plus haut de la chaîne des terrils après ceux du 11-19 à Loos-en-Gohelle.
Terril de Sainte-Henriette qui fait tant parler de lui avec ce vaste projet d’aménagement de la friche qui s’étale à ses pieds : lac artificiel, cité lacustre, piste de ski, logements, etc. Dans les mois et les années qui viennent, le paysage de ce morceau de territoire risque encore de beaucoup changer, de s’urbaniser un peu plus après les multiples constructions toute proches de la zone commerciale de Noyelles-Godault.
Reste que si la frustration de ne pas pouvoir accrocher ce sommet à votre palmarès vous envahit, alors rendez-vous à Carvin sur le site de la tour d’Horloge où d’agréables promenades entre marais et sous-bois vous conduiront au pied du terril de la fosse 4, proéminence arborée d’où l’on peut encore avoir quelques échappées sur la frontière entre le pays minier et la métrople lilloise.
Visite guidée des terrils 116 – 117 de Oignies. Ces terrils tabulaires sont favorables à l’installation d’une faune et d’une flore remarquables. Des aménagements permettent d’atteindre un petit promontoire offrant un magnifique point de vue sur la partie centrale du bassin minier. Durée : 2 h 30 environ. Prévoir jumelles et chaussures de marche. 3 euros par personne. Réservation obligatoire avant le vendredi 28 septembre (16 h).Contact : David Lecerf, Chaîne des terrils. Base du 11/19, rue de Bourgogne62750 Loos-en-Gohelle. Tél. 03 21 28 17 28 – Fax 03 21 43 25 95. »
Courriel : chaine.des.terrils@wanadoo.fr – http://chaine.des.terrils.free.fr
Source http://www.echo62.com/article.asp?num_art=2646
Touquet : Scuplture sur sable
Site de l’événement : Sur la digue, en face de la Rue Saint Jean (à droite de l’Aqualud)
Un moment de pur merveille à passer jusqu’au 31 août et si vous ne pouvez vous y rendre alors vous pouvez soit cliquez ici pour voir les photos de Sébastien Berger ou visualisez ce très beau diaporama ci-dessous ! Bonne visite virtuelle !
http://www.dailymotion.com/video/x5oxnv
Extrait du dossier de presse
LE GRAIN DE SABLE
LE SABLE DE SCULPTURE
Les sculptures sont faites d’un sable spécial que nous appelons « Sable de Sculpture ». Ce sable provient d’une carrière en Belgique, du Mont Saint Guibert plus précisément, à une trentaine de kilomètres de Bruxelles en direction des Ardennes.
Nous n’utilisons pas le sable local de la plage car les marées ont eu, au fil du temps, un effet d’érosion sur ce sable. De ce fait, les grains de sable de plage sont devenus complètement ronds, comparables à des billes, impossibles à empiler.
Notre sable a plus de 50 millions d’années. Il a reposé dans une carrière, le grain est resté carré, angulaire et pointu. Cette particularité permet aux sculpteurs de « compacter » le sable. Les grains s’emboîtent et forment ainsi des blocs durs qui permettent l’élévation.
Le grain du Sable de Sculpture est aussi extrêmement fin ce qui permet un travail très détaillé.
Enfin, la couleur jaune doré est un atout supplémentaire de notre sable. Le soleil lui donne un large éventail de couleurs, d’ombres et de contrastes. Les sculptures en bénéficient et obtiennent de la profondeur grâce aux détails qui sont accentués par les jeux de lumière.
Les visiteurs pourront admirer les sculptures en nocturne, illuminées par un jeu de lumières.
Photos de la Côte d’Opale !
5 juillet, 2008, 15:15
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Allez, pour se faire du bien et sentir l’air iodé rien qu’en regardant les photos !











